Bonjour/Bonsoir !
J'espère que vous allez bien :)
Voici le post mensuel des Criticoeurs ! Merci pour vos posts et pour continuer de partager sur cet Amino, c'est toujours un plaisir de vous lire ! :) on e tout de suite aux critiques !!
![Criticoeurs février-[IC]Bonjour/Bonsoir !
[C]J'espère que vous allez bien :)
[C]Voici le post mensuel des Criticoeurs ! Merc](https://image.staticox.com/?url=https%3A%2F%2Fpm1.aminoapps.vertvonline.info%2F9319%2Fdfe90bc07c9bc7ab20830dc5e24556306f338a4ar1-736-216v2_hq.jpg)
Lys, c'est une goutte de miel.
J'apprécie le contraste créé entre les "éléments capricieux", notamment la pluie, qui est véritablement le monde qui s'effondre autour de soi, et cette union éternelle décrite si tendrement, à travers des confidences, et imagée avec des volutes.
Cela renforce l'idée d'un "amour si pur". Même si tout semble l'empêcher, "même dans la nuit", "même sous la pluie" (sympa l'anaphore), elles sont comme les étoiles, à la fois là et dans leur propre univers inatteignable.
On remarque une chouette allitération en [s] qui s'ajoute à la fluidité du texte et même au thème.
La dernière ligne offre une belle fin à ce poème, revenant des étoiles à la terre.
Le tout en rimes suivies, ce texte m'a conquise ! :four_leaf_clover:
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Un texte court, mais qui suffit à nous mettre dans ton thème, et qui prouve qu’il n’y pas besoin de rimes pour faire un texte court, léger, dans lequel on peut être complètement dedans. Le mystère plane autour de ton texte est c’est très intéressant, parce qu’on a juste assez pour s’imaginer les raisons de pourquoi le narrateur ne reviendra plus, mais pas trop pour ne pas donner les réponses. C’est d’ailleurs une belle rupture par rapport au reste du texte, où l’on sent quelque chose de serein dans ces vagues, dans ce que tu nous décrit, jusqu’à ce moment où l’on se questionne avant de comprendre. C’est beaucoup en si peu de mots, merci beaucoup pour ce partage !
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J'aime ton poème 555. Je l’ai lu et relu, chaque fois un peu plus immergée dans cette atmosphère oppressante, pleine d’ombres et de lumières, de souvenirs dorés et de cicatrices qui refusent de disparaître. Je ne sais plus si je te l'ai déjà dit, mais j'aime énormément la forme de tes poèmes. Tu balances les mots aux figures de tes lecteurs.
Il y a quelque chose de brut dedans, quelque chose de désespérément beau. Je ressens cette boucle infernale qui t’enferme, ce besoin de revenir, encore et encore, comme un automate programmé pour se heurter aux mêmes murs. Ces murs que tu fixes, ces murs qui te fixent en retour, témoins silencieux d’un amour brisé, d’une histoire qu’on a déjà trop racontée mais qu’on ne peut pas lâcher. Il y a ce paradoxe constant : tu veux oublier, mais en même temps, tu t’accroches à chaque fragment, à chaque reflet de ce visage qui te suit. Tu ne peux oublier l'obsession.
Et cette lumière, ce jaune, qui est pourtant censé représenter la joie mais qui apparaît ici plutôt tragiquement. Il y a cette séparation entre toi, perdu dans le noir, et lui, ou elle, toujours baigné dans cette teinte chaude, presque irréelle. Comme si la mémoire le peignait en or, comme si son absence était plus éclatante que sa présence. Mais est-ce que ce jaune brille encore, ou est-ce juste une illusion, un écho lointain d’un bonheur qu’on force, qu'on embellit pour mieux s’y noyer ?
Je ressens cette obsession, cette douleur de voir tout s’effacer, de ne plus être sûr des contours. Et ce moment où tout commence à buguer, où ton cerveau refuse de maintenir l’image nette. Il y a quelque chose d’inévitable là-dedans, un effondrement lent mais irréversible. Tu veux garder la main sur cette histoire, mais plus tu la revis, plus elle se brouille, comme de l’encre qui se dilue sous la pluie.
"Même quand il ne restera plus qu’une sombre obsession, je me guiderai avec la lumière de qui tu étais"...J'aime. Tragique, mais magnifique. Comme si, même dans la folie, même dans la folie, même dans la perte totale, il restait cette lueur, ce fil d’or auquel s’accrocher. Si je devais chercher un défaut, ce serait juste que certains ages tournent un peu en rond, mais en même temps, c’est ce qui rend le poème aussi puissant. Parce que c’est ça, la douleur : une spirale dont on ne sort pas, un disque rayé qui répète le même mot, le même nom.
Le titre "555" intrigue et peut être interprété de plusieurs façons. Dans la musique et l’art, 555 est parfois utilisé pour évoquer un état d’errance mentale, un entre-deux où l’on est ni totalement présent ni totalement absent. Cela correspond parfaitement à l’atmosphère de ton poème, où le é et le présent se confondent, où l’oubli menace mais où l’obsession maintient un lien fragile avec ce qui a été. Personnellement, je crois en cette version qui me semble intéressante, mais je peux me tromper...Enfin voilà, j'ai aimé !
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Mauvais reflet Critique de Fuyu
Rien qu’au titre on sentait que quelque chose se tramait, mais je ne saurais pas dire si on s’attend à ça, dans le bon sens du terme bien sûr, on peut dire que tu nous surprend de manière presque fantastique. Je ne sais pas si c‘est fait exprès (ou juste moi qui interprète trop), mais au début j’y ai vu un policier fier, ou peut-être quelque chose d’autre, je voyais quelqu’un en qui j’avais quand même envie de croire, tu nous as bien présenté ton personnage pour qu’il devienne attachant en quelques lignes.
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J'ai apprécié le début de ton texte, avec le fait d'écrire pour se vider l'esprit. N'est-ce pas le propre de l'artiste ? Vouloir décharger son cerveau encombré d'idée et de scénario, vouloir simplement poser des mots sur ce qui dévore notre esprit. "Où le point n'est pas la fin de nos réponses.
Mais le début à d'autres, une fois que tout est compris."
Est-ce ici l'écrivain ou le lecteur qui doit comprendre ce qu'il a sous les yeux ? Je me suis senti visé, vu que j'ai décidé de prendre ton texte pour en faire une critique :)
Condamné à notre destin et difficile d'y briser nos chaînes, ton texte a pourtant une note positive sur sa fin. Quoique presque mélancolique.
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La technique du choc dans les œuvres de Victor Hugo Critique de Fuyu
Merci de nous faire part du décorticage de cette technique, ça change ! Le fait que tu appuie ce que tu avance par plusieurs exemple nous permet de mieux comprendre, surtout qu’en général ce sont des personnages, qui même si l’on a pas lu l’œuvre sont facilement reconnaissable. Le fait aussi que tu nous donne des morceaux de texte correspondants nous donne déjà la style de l’auteur dans ce livre, mais donc aussi ce age de parcours du personnage.
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C'est tout pour ce mois ! Merci pour votre lecture :purple_heart:
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Comments (2)
Merci infiniment Héloïse pour ta critique de mon poème :pray: :pray: C'est une immense honneur et un immense plaisir de voir que 555 t'as autant marqué. Tu décris parfaitement cette état d'obsession, de perte , de douleur. Il est vrai que je me répète très souvent dans mes poèmes . Mon cerveau tourne en rond sur cette histoire et essaie d'y donner du sens . J'aurais besoin de sens mais je n'en ai pas. C'est ça qui me fait tourner en rond. Et parfois je me dis que ça doit être ennuyeux de me voir parler de la même chose en boucle. Merci d'être toujours là à me soutenir malgré tout
Merci beaucoup Fuyu ! Ravie d'avoir pu piquer ta curiosité !