Ces oiseaux

Te souviens-tu ?

Des mots qui m'ont introduit, à cet endroit

Ceux-là même qui ont créés le lien avec toi.

Je ne faisais que théoriser,

Et on m'a complimenté.

J'étais un colibri en ce monde,

J'ai vagabondé créant ma personne.

J'ai proposé un jour ma voix

Et l'on m'a répondu une fois.

J'ai chanté l'amour, un rêve que j'espérais.

À toi, le seul oiseau qui a chanté pour moi,

La seule voix qui de nulle part s'éleva

Je jure de t'offrir cette clé que tu voulais.

J'en ferai un double alors que nous nous rencontrerons

Tu m'as montré comment changer, comment être bon

À mon tour je te remercierai même si le chemin est long

Et j'espère entendre nos voix un jour encore à l'unisson.

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Petit oiseau, si tu n'as pas d'ailes, tu ne peux pas voler

Si tu as peur de ce monde de brutes, laisse-moi te porter

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On pense sûrement tous être uniques

On veut tous se démarquer des classiques

Je n'ai pas une belle plume

Je n'ai pas de belles plumes

La mienne est bancale, pas très belle

Incapable de faire le moindre vers.

Les miennes sont fades, pas très belles

Incapables de parader même devant un vers

Je n'ai qu'une pensée de moineau,

Vous avez des chants plus que beaux.

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Je n'ai plus chanté,

J n'ai plus attiré.

On dit qu'on me veut, poudre aux yeux.

Je n'ai jamais était quelqu'un, trouvez mieux.

La cantatrice de la première heure

Elle seule à le droit de dire " je pleure ".

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Je reviens, ou plutôt j'arrive

      Je n'ai pas de beaux textes, je m'engage à revenir pour ce pour quoi je suis venu. Je ne suis pas poète, je ne maîtrise pas les vers. Je les abandonne, et je retourne à ma véritable vocation.

Je redevient penseur.

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On dit souvent que l'on doit faire ce que l'on aime, même en pensant cela de tout son cœur, on finit absorbés par la foule et le volonté d'être acclamé.

Je vous avais oublié, ceux qui ont parlés de mes idées, de ma réflexion. Je me confonds en excuses, je reviens sur mon univers, au revoir Poésie