Être un chapeau, ça fait quoi ?

Y’a hi

Aujourd’hui je vais répondre à

une question que vous ne vous

êtes pas posé. Nous allons étudier

des faits avérés et développer mon

avis super objectif pour y répondre.

Etre un chapeau, ça fait quoi ?

  

   

  

« Être un chapeau c’est pas un cadeau. »

Telles sont les paroles poignantes

d’un chapeau qui s’est posé sur

trop de tête, qui tient à rester

anonyme et que nous appelleront

donc Gérard. Nous sommes venu

à sa rencontre pour comprendre

ce sujet peu connu de la société,

la maltraitance des chapeaux.

  

« On me pose sur toutes les têtes sans me demander mon avis. »

Peu de gens s’en rendent compte

mais les chapeaux ressentent

autant de sensations que les

humains, alors quand il est posé

sur notre tête il y a plusieurs cas

possible. Soit le chapeau est petit

et donc simplement posé sur une

tête, soit il est trop grand et la tête

s’enfonce à l’intérieur du chapeau.

Le premier cas est plutôt sans

importance mais dans le second

cas il s’agit d’une pénétration sans

consentement du chapeau. Gérard,

qui a souvent été posé sur de

jeune tête nous raconte boulversé

qu’il se sent mis à nu et très mal

à cause de cela. D’abord car il n’est

absolument pas consentant et

ensuite parce qu’il est multi

centenaire pénétré par des enfants

de 11 ans. C’est de la

pédochapophilie.

  

« J’ai perdu toute dignité il y a bien longtemps, à chaque fois je dois subir ou on me menace d’être jeter. »

Le pauvre Gérard n’a pas vraiment

le choix, aussi ironique que ce soit.

Aujourd’hui, il témoigne

anonymement, pour se protéger

des répercussions.

  

« Chaque pénétration n’est ni protégée, ni hygiénique, mon pire souvenir était des cheveux extrêmement gras en 1971. »

Gérard vit dans la peur qu’on lui

transmette moult maladies

capillairement transmissibles (MCT).

Un jour le drame arriva et depuis il

est contraint de vivre avec la

poissade de la peau, une maladie

qui attaque le cuir chapelu en

sécrétant une sorte de cire

poisseuse.

    

« Je pense souvent à tout arrêter, c’est ma ion pour le chant qui me fait tenir. »

Gérard est noyé dans les idées

noires, après tout, il suffirai d’un

chat pour le déchiqueter et en finir.

En permanence seul face à ses

problèmes, il s’exprime à travers

le chant dont voici quelques

extraits très parlants.

« Je veux bien me manger moi-même »

« J’en suis témoin et de mémoire, vous raconter la très pénible histoire »

« Ce n’était partout que duels et conflits »

 

  

 

Si vous êtes un chapeau en détresse appelé le numéro vert :

+42 43 40 43 40

 

Pour soutenir la cause des chapeaux une cagnotte a été ouverte :

levioldeschapeauxcestmal.com

  

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